Notre Programme


Programme de l’UDJ – Campagne 2012



Contrairement aux suppôts du Système que sont l’UNEF, le MET,  la FSE, la Cé et tous les autres qui ne forment qu’un, l’UDJ rompt avec toute démagogie et propose de véritables perspectives pour les étudiants français à travers un programme formé d’un socle concret de solutions réalistes et applicables. Il s’axe sur trois points fondamentaux à savoir le redressement de la situation sociale des étudiants, la promotion de l’intelligence française au sein du système universitaire et le rejet de l’influence gauchiste dans la vie étudiante.

Pour un redressement de la situation sociale des étudiants :
Pour paraphraser l’intitulé d’un article paru dans notre journal de rentrée 2012 en ligne sur notre site internet (www.uniondefensedelajeunesse.fr) : « les étudiants ont mal aux bourses ! » Entre l’inaptitude des administrations « compétentes » à gérer les dossiers des étudiants boursiers – il est inacceptable que des bourses soient versées plusieurs mois en retard et qu’aucun avancement ne puisse être opéré entre temps pour résoudre les problèmes du fait de l’incapacité du personnel dans la plupart des cas – et les injustes critères d’attribution des bourses – lesquelles s’effectuent très souvent à l’avantage des étudiants étrangers ou bien profiteurs, excluant ainsi les Français démunis ayant à tout prix besoin d’une aide financière pour vivre –, il est plus que jamais nécessaire d’imposer une préférence nationale quant à l’octroi des aides financières, à quoi devra bien évidemment s’ajouter le principe de méritocratie.
Il apparait ensuite urgent de se pencher sur le cas des logements qui entache lourdement la vie de très nombreux étudiants. Il est regrettable de constater qu’il existe des milliers d’habitations inoccupées pouvant être employées au service des étudiants. De même, les squats abandonnés doivent être réaménagés et ainsi pouvoir leur servir utilement.
Enfin, pour survivre, il est n’est pas rare de constater que trop d’étudiants doivent malgré eux se « prostituer » en devant travailler hors de leurs heures de cours, au détriment de leur réussite universitaire. Des aides financières adaptées et appliquées sur des critères stricts mais justes doivent alors permettre aux étudiants honnêtes et disposant des plus bas revenus de s’en sortir sans avoir à sacrifier leur temps libre à des tâches professionnelles souvent peu enrichissantes ou pour le moins usantes (pizzaiolo, équipier chez McDonald’s, etc)

C’est pourquoi seule une saine justice sociale parfaitement appliquée est en mesure de redresser la situation sociale des étudiants.

Pour une promotion de l’intelligence française :
Dans cette société décadente en pleine perdition, il est fondamental que s’opère un nivellement par le haut. Pour ce faire, les étudiants ont un rôle à jouer. Les meilleurs d’entre eux formeront ainsi l’élite capable de redresser le pays. C’est la raison pour laquelle doit être pratiquée au minimum une orientation claire et transparente des étudiants à l’entrée de l’université, voire une vraie sélection quand il n’y en n’a pas déjà une, afin d’une part de leur éviter de « perdre » une année ou deux, et d’autre part de constituer un noyau de jeunes Français aux compétences solides et dignes de ce nom.
Dans la même optique, il est absurde de remarquer que le personnel universitaire s’illustre parfois par son manque de compétence dans l’enseignement dispensé aux étudiants. Il arrive que des enseignants maîtrisent mal la langue française – posant ainsi un énorme problème de compréhension pour les étudiants au sein de leurs cours – ou bien pire encore, la matière dans laquelle ils sont censés exceller. Il n’est pas question que les étudiants pâtissent de ce manque crucial de sérieux et que ce dysfonctionnement leur porte préjudice. La qualité de l’enseignement doit donc être parfaitement assurée.
Parce que l’université se doit aussi d’être un lieu vivant, il faut qu’un renforcement des activités à caractère politique soit encouragé. Qu’il s’agisse de colloques, réunions, formations voire d’interventions de personnalités extérieures, les sentiments patriotiques et nationalistes doivent être exaltés pour que la jeunesse rayonne, s’élève et se délivre de tous les maux que lui ont transmis ce Système dès le plus jeune âge.

A ce titre, un grand homme du XXème siècle disait fort justement « Que les jeunes se mettent bien dans la tête que c’est dans la mesure où leur cerveau travaillera, où leurs connaissances techniques s’accroîtront, et où ils seront devenus une part vivante de l’élite, qu’ils pourront réussir la rénovation de la société. »

Pour le rejet de l’influence gauchiste dans la vie étudiante :
Soucieuse de préserver l’université de toute emprise idéologique décadente, l’    UDJ entend bien la défendre contre tout blocage ou tentative d’intimidation extérieure. C’est ainsi que des facultés – parmi lesquelles Assas-II constitue une excellente illustration – restent libres et permettent aux étudiants de pouvoir étudier sereinement. Les tumultes gauchistes n’ont pas leur place dans nos universités et doivent par conséquent être contrés de quelque manière que ce soit. On ne transige pas avec la liberté d’étudier !
Les universités ne doivent également pas subir les verbiages d’organisations desservant les intérêts des étudiants comme c’est actuellement le cas avec les syndicats en place. Ces derniers trompent les étudiants en leur promettant monts et merveilles – avec des discours recyclés, une instrumentalisation et un bourrage de crâne sur les étudiants étrangers notamment,  des revendications stériles et identiques chaque année, des luttes puériles, etc –  alors qu’ils ne cessent de mener à mal l’université  en la dégradant, la bradant et lui faisant perdre de sa valeur. Le cas de l’UNEF et des groupuscules qui l’entourent est très significatif : ces bien-pensants entendent dicter leur loi comme nous avons pu le remarquer en Septembre 2011 à Lyon-III lorsqu’ils protestaient contre le retour de Bruno Gollnisch au sein de la faculté ou bien lors de la venue de Marine Le Pen à Paris-Dauphine en décembre 2011. Il est interdit d’interdire, mais il semble être des cas où cela ne s’applique pas à tous, l’autre preuve étant l’acharnement répété, physique ou non, qu’entendent faire subir ces organisations à l’UDJ.

Quoi qu’il en soit, la dictature gauchiste est loin de nous effrayer. Les rats noirs – l’allégorie assumée de l’UDJ – prendront même plaisir à faire décamper ce fléau de nos facultés, pour le bien de tous !

Alors étudiant, toi qui en a marre de voir ta situation inchangée et si peu considérée, cesse de te démotiver et rallie l’UDJ, seule force et alternative syndicale possible. 
N’hésite plus un instant et rejoins dès à présent l’univers fascinant d’un militantisme percutant !


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Programme ULN :
Programme de l'Union des Lycéens Nationalistes.

L'Union des Lycéens Nationalistes se veut être le mouvement qui défend les intérêts des lycéens face aux adversaires de la Nation Française et de la morale naturelle qu'est le nationalisme. Les opposants ont réussi à s'implanter notamment au sein de l'éducation nationale permettant un endoctrinement scolaire des masses les plus fragiles. C'est pourquoi, dans l'intérêt du bien commun, de la Patrie et de la jeunesse qui sera l'avenir de celle-ci, qu'est créée l’ULN.

Nous nous présenterons donc aux élections lycéennes afin de vous représenter.

Notre programme est clair et complet. Il se divise en plusieurs points.

L'insécurité :
Nos lycéens sont touchés de plein fouet par la « racaillisation » de leur établissement ainsi que par la violence de cette minorité qui ne cherche pas à s'intégrer ni à recevoir un enseignement scolaire. C'est pourquoi nous appliquerons l'exclusion définitive de toute personne ayant un comportement « douteux » et nuisant aux autres élèves.
De plus, nos lycéens subissent la violence, verbale ou physique, de la part de ces mêmes protagonistes qui leur détruisent la vie chaque jour. C'est pourquoi nous mettrons en place des surveillants formés, prêts à intervenir en cas de problème et pouvant utiliser des produits dissuasifs. Ceux-ci agiront dans et dehors l'établissement car la violence s'étale à la sortie des cours et c'est à ce moment-là que le lycée ne veut pas (plus) intervenir puisqu'il considère que ce n'est plus de son ressort.
Cela dit, même si ces surveillants verront 95% des faits et gestes des lycéens, il reste toujours ces 5% où il pourra se passer bien de mauvaises choses pour l'élève pris au dépourvu face à ses multiples agresseurs. C'est pourquoi des cours de self-défense seront mis en place au sein de l'établissement afin que ceux-ci puissent apprendre à se défendre par leurs propres moyens. Une très modique somme sera demandée mais cela ne sera pas un frein à la participation de tous les lycéens.

Le changement du programme scolaire :
Une rénovation importante est à apporter. En effet, nos lycéens sont martelés par des discours moralisateurs dans chaque cours auquel il assiste. Selon l'éducation nationale nous serions les « grands méchants » de l'Histoire, ayant colonisé, pillé, déporté ou même violé ! Il faut en finir avec cette déferlante d'amoralité et de politique de dénationalisation scolaire.
C'est pourquoi nous supprimerons la décadence morale au sein de l'établissement véhiculée depuis mai 68 à cause d'organisations communistes pour la remplacer par une éducation droite et permettant l'épanouissement du lycéen.
Pour ce faire il nous faut remettre en place l’étude des grands noms de l'histoire Française tels que : Jeanne d'Arc, Charlemagne, Charles Martel, Napoléon ou Maurras dans un registre plus récent qui sont des exemples à suivre et permettant le retour aux sources afin de s’inspirer de notre Nation qui fut la plus puissante d’Europe, à une époque où le besoin matérialiste, le métissage ou le reniement du sentiment patriotique n’étaient que baliverne. Ensuite, l'overdose du fardeau colonial ou/et collaborationniste sera bien diminué puisque nous sommes arrivés à un stade de répétition qui montre que cela n'est plus de la pédagogie mais de l'abrutissement scolaire afin de nous faire comprendre que nous ne sommes que des descendants de traitres, colonisateurs et que nous devrions avoir honte de notre passé historique, spirituel, culturel ou même linguistique, nous, Français de souche européenne.

Nous exigeons également la diversité littéraire et que celle-ci ne soit pas cantonnée à la simple étude d’auteurs littéraires communistes. La littérature Française est remplie de génies tels que Louis-Ferdinand Céline, dont nous demandons la réimplantation au sein du programme scolaire, Pierre Drieu la Rochelle ou Robert Brasillach. Nous nous devons donc de favoriser l’accès de ces auteurs à nos lycéens afin qu’ils puissent avoir accès aussi, à des auteurs romanciers nationalistes.

Il nous faut donc des établissements lycéens nationalistes permettant et assurant une éducation droite, portée sur l’amour de la Nation et rejetant tous ses ennemis.

Halte à l’attentisme des pseudos syndicats lycéens : 
Plus qu’un syndicat lycéen nous sommes un mouvement nationaliste. Ne laissons donc pas ces sous-fifres du système nous manipuler afin qu’ils puissent tirer ce qu’ils veulent de nous.
Que ce soit le FIDL, l’UNI-lycée ou encore UNL, tous ont le même objectif : avoir une place pour leur avenir. En effet, ceux-ci sont financés par des partis politiques. UNI = UMP qui est la droite molle sans objectifs et faisant campagne pour Sarkozy , UNL/FIDL = PS ou Parti Communiste. Ces deux derniers souhaitant lutter contre l’extrême droite et se veulent les grands défenseurs des droits de l’homme mais assurent juste leur future carrière au sein du Parti Socialiste. Si vous êtes un patriote ou un nationaliste, vous n’avez pas votre place au sein du lycée, voilà leur principal discours !
Nous, nous refusons que cela se passe ainsi et condamnons les crimes communistes qui ont fait plus de cent millions de morts, ceux qui veulent un internationalisme donc l’abolition des frontières pour ne citer que cela et que ces deux syndicats défendent !

Avenir post-lycée :
Nos lycéens sont totalement délaissés dans leurs futurs projets étudiants ou professionnels après le lycée. En effet, les établissements scolaires les poussent à choisir en vitesse une filière ou une école sans même tellement savoir si c’est ce qui lui plaira/ira. C’est pourquoi nous exigeons un suivi personnalisé de chaque élève afin qu’il puisse être guidé efficacement vers son avenir et, de ce fait, ne pas perdre une année dans des établissements qu’il aurait choisi par dépit. De plus, des stages seront proposés afin de découvrir certaines branches de métiers. Ceux-ci seront rémunérés par l’Etat d’une petite somme permettant la concrétisation du travail donné et l’envie de continuer. Nos lycéens seront l’élite de demain, l’avenir de la Nation. Il faut donc que ceux-ci soient orientés, selon leurs compétences, vers des études où ils seront pourront s’épanouir et seront efficaces.

Ami(e)s lycéen(ne)s, il est temps de reprendre les choses en main.
Nous sommes une famille, fiers, et luttant avec amour pour le salut de notre pays, la France.

Rejoins-nous !

ULN – Union des Lycéens Nationalistes